Visite à l'hôpital

Cooper :

J'arrive, les mains dans les poches. Ca se fait, ça, d'aller voir quelqu'un de malade, juste pour un bonjour/au revoir, s'assurer qu'il va bien sans un présent? En tout cas, c'était comme ça que ça allait se passer. Je n'avais rien de bien à lui offrir. Et l'argent n'était clairement pas la chose la plus utile. Peut-être pour payer les soins? Non. Ils étaient pris en charge. Bah besoin d'argent, donc. Et puis, je n'étais pas là pour lui offrir des fleurs. Une visite, de tant à autre. Aussi, je doutais de notre prétendue amitié. N'était-ce pas qu'un simple ami d'enfance? Maintenant, pour lui je devais être une connaissance, tout simplement. C'était la même pour moi. Je doutais le fait même que je me souvienne de son nom. Non, ça c'est bon, je m'en souviens très bien. J'ai toujours eu bonne mémoire pour me sauver la mise.

Hugo:

Je suis seul dans ma chalbre d'hôpital triste et morne. Comme tout les jours. Je n'ai jamais de visite car je n'ai pas de famille et pas vraiment d'amis... le seul qui me reste c'est Cooper. Malgré le temps qui passe il continu de venir de temps en temps. J'aimerai bien m'en faire a l'hôpital mais tous ceux que j'avais sont morts ou en rémission complète... on va dire que la section "enfant malade" cas grave n'est pas vraiment peuplé... Je suis donc en train de lire un des nombreux livres que l'hôpital possède pour les gens en pension complète comme moi.

Cooper :

J'arrive à a chambre. Moment d'hésitation. J'hésite toujours à entrer. Déjà, je me dis que je stresse peut-être parce que j'ai peur de me tromper de chambre. Puis, je laisse la vérité éclatée. Je stresse par simple anxiété d'apprendre quelque chose qui ne me plaira pas. Mais je frappe, quand même, trois coup distincts, puis un quatrième, lointain. Notre petit code, à nous deux. Au départ, je trouvais ça amusant, puis débile. Maintenant, ce n'est qu'une simple habitude, un avis neutre sur la question de le faire ou non. Et puis, j'entrais. Je n'attendais pas vraiment sa réponse. Après tout, ce n'est pas comme si je l'ignorais. Tout le monde apprécie un peu de compagnie.

Hugo:

j'ebtend quelqu'un frapper. Puis je reconnais NOTRE code. Rien q'a nous deux. Il faisait ca qu'en j'étais petit, pour le rassurer que ce n'étais pas un monstre qui voulait me dévorer. Je ne lui répond pas, sachant que n'est inutile car dans tout les cas il va rentrer. Accord ou non. C'est comme ça, et ca me va très bien! Je pose alors mon livre sur le bord de MON lit et essaie de le redresser avant qu'il ne me voit comme je suis. J'ai malheureusement fais une rechute il y a peu à cause d'une de mes tentatives de fuites et je suis obliger de porter un masque à oxygène. De plus j'ai des cernes monstres, la peau plus pâle que d'habitude et une de ses blouse horrible obligatoire a l'hôpital. En gros, je suis encore plus minable que d'habitude. Meme si il LE sait je n'aime pas qu'il me voit comme ça... mais il entre avant que je n'ai pu me relever de MON lit

Cooper :

J'ai parsemé la pièce du regard, je le cherchais. Lorsque je le remarquais, dans son lit, pas dans un état des plus envieux. J'avais juste passer ma tête, méfiant, et hésitait pour une fois à rentrer. Devrais-je peut-être le laisser tranquille? Il avait sûrement besoin de repos que de parler pour ne rien dire. Alors je ne bougeais pas, me tenant à la poignée de la porte tout en gardant la bouche entrouverte. Je voulais dire quelque chose, mais quoi? J'avais l'air stupide, une tête de poisson rouge. Mais aucun son ne semblaient vouloir franchir la limite de mes lèvres. J'aspirais un grand coup, puis entrait, refermait la porte et m'adossait à celle-ci sans le côté des yeux.

Hugo: 

Je LE vois hésiter longuement pour entrer. A t'il pitié de moi? Je ne sais pas, par précautions je baisse la tête. Je ne sais pas ce qu'il va faire mais s'il repart, je ne veux pas le voir. J'entends la porte se fermer et regarde celle-ci pour voir Cooper s'y etre adossé. Je souris alors grandement et enleve délicatement mon masque

"coucou"

Cooper :

" - Hey." ais-je lancé, sans grande émotion

Je n'étais ni froid, ni joyeux pour autant. Mais véritablement perturbé. Je n'avais aucune idée de comment j'allais le retrouver, dans quel état lorsque je franchirais cette porte une nouvelle fois. J'ai poussé un petit soupir, prenant mon courage pour me séparer de la porte et m'approcher de lui. Je m'adossais encore à un mur, mais juste à côté de lui, le regardant faire. Et finalement, j'esquissais un tout discret sourire. Je doutais moi-même de son existence. La joie d'Hugo était communicative, vraiment.

" - Tout va bien, pour toi?"

Hugo: 

je le regarde se reprocher et sourit un peu plus à chaque pas qu'il fait. Quand il s'appuie contre le mur juste à côté de moi je vois se dessiner un micro sourire sur ses levres. Je ris un peu car il sourit rarement et que ca me fait plaisir puis me rend compte que c'était une mauvaise idée quand je me mets à tousser assez violemment. Je suis vraiment minable

Cooper :

Je tourne la tête, surprit de l'entendre tousser. Je me méfiais, non pas de lui, mais de ce qui semblait le rongeait Je me demandais " - quand est-ce que je n'aurais plus à franchir cette porte?". En bien, ou en mal. Pourvu que ça se finisse, qu'il arrête de souffrir continuellement, pour rien d'ailleurs. Je soupirais, reposais ma question.

" - Tout va bien, Hugo?"

Ca se sentait, que tout ce que je voulais entendre, c'était qu'il aille bien. Mais c'était tellement égoïste de ma part.

Hugo:

J'entend Cooper me parler mais ma toux m'embrouille les oreilles. J'ai de plus en plus de mal à respirer, meme si ma toux se calme un peu mes voix respiratoires sont bouchés... je n'aurai jamais dû retirer MON masque... mais comme je suis recroqueviller sur moi meme je ne peux pas l'attraper... J'arrive enfin à parler un peu pour ne prononcer qu'un seul mot

"masque..."

Cooper :

Son état empirait réellement. je le regardais faire avec de grands yeux. Je me sentais très idiot, juste à le fixer, sans savoir quoi faire pour l'aider. Ce n'est que lorsqu'il me pointait ce qu'il recherchait que j'attrapais l'objet en question et le lui tendait. Je n'osais pas le lui mettre, ni même le toucher. J'avais peur de le briser comme on briserait un vase, un verre. Toutes ces choses futiles et éphémères. C'était très décourageant de voir un tel spectacle, et pas seulement pour moi, je m'en doutais.

Hugo: 

Il me tend mon masque que je prend tout en tremblant. Je me le met et essaie de prendre de grandes inspirations tout en attrapant la main de Copper. Je ne veux pas être seul... plus jamais...

Cooper :

J'allais me décaler un peu, espérant le laisser tranquille. J'allais faire un pas, et fut retenu. Je fixais ma main, la sienne s'était nouée, accrochée à mes doigts. Je soupirais, faiblement et tristement. Je ne resserrais pas mes doigts sur les siens. Je tournais la tête ailleurs, avant de lui faire lâcher. Je m'apprêtais à partir, ce genre de choses je n'aimais pas ça. Je n'aimais pas prendre les gens en pitié, je n'aimais pas me sentir inutile. Je l'étais.

" - Je vais te laisser, tu dois te reposer, toi."

Je lui lâchais la main, et je posais la mienne sur la poignée. J'hésitais à ouvrir la porte, à rester comme à partir. Non, m'enfuir. C'était le terme exact.

Hugo:

je baisse la tête quand il lache ma tete. Je sais qu'il n'aime pas la pitié. Moi non plus d'ailleurs mais je ne veux pas être seul. J'en ai marre d'être seul. Mais je le comprend alors je ne le retient pas. Je reprend doucement ma respiration, LE laissant partir... J'en ai marre de me battre pour tout... Retenir mes "amis", sortir de cet hôpital, garder la vie...

Cooper :

Je soupire. Je lui lance un dernier regard, puis finalement ouvre la porte, et la referme derrière moi. Je m'y accroche cependant, dans le couloir, adossé à celle-ci. Et je prend le temps de regarder autour de moi. Il y a beaucoup de monde, plus que les autres fois. Des infirmières s'agitent à un endroit comme des poules. Des médecins passent en coup de vent. Plus loin, une jeune fille qui me semblaient encore plus petite et plus faible qu'Hugo se dépêchait de s'enfuir. C'était la folie un peu partout, et je ne savais pas quoi suivre des yeux. Les infirmières, les chirurgiens, ou la jeune fille? Je suivais la dernière des yeux. Lorsqu'elle passait à ma porté, je remarquais sur son poignet un tatouage assez mal caché. Mon regard assez froid semblait lui avoir mis la puce à l'oreille, elle me foudroyait du regard et tirait un peu plus sur sa manche. Triste sort, triste sort, mais je me sentais moins seul dans cette situation. Mais je me doutais que les demi-animaux étaient encore très mal vu, et certainement pas pris en charge par les médecins. C'était très rassurant. Me vint la question de savoir si Hugo en était un, aussi. Non, ça m'étonnerait. Il me l'aurait dit? Je ne crois pas. Mais je me doutais que si c'était le cas, son tatouage aurait été très vite visible.

Pour ma part, pour cacher le moins, je ne portais que des pulls ou des chemises, quelque chose de très sombre pour ne pas permettre de voir à travers, et qui couvre bien. J'évitais aussi les vêtements fragiles, qui peuvent se déchirer. J'aurais l'air idiot, si quelqu'un venait à découvrir ce que je suis en réussissant en plus à me mettre torse nu.

L'agitation dans le couloir m'avait suffisamment chambouler comme ça. Je lâchais la poignée, et commençait à marcher dans le couloir, les mains dans les poches et la tête baissée. J'espérais qu'Hugo ne sorte pas de sa chambre. Quelque fois, ça lui prenais. Ca finissait toujours mal.

Hugo: 

je me met doucement à pleurer quand il sort... j'ai entendu l'agitation en dehors de la chalbre. Je sais aussi qu'il reste devant la porte. Comme à chaque fois. Je décide alors d'attendre qu'il parte pour retirer MON masque, me lever et me diriger en douceur vers la porte. Je sors et vois le brouhaha ambiant. Je commence à marcher dans le couloir, m'assurant que Cooper est bien parti. Je connais tout le monde ici, surtout les infirmières. Je me dirige alors vers l'une d'elle pour savoir ce qu'il se passe 

(tu la fait?)

(Okey! :3)

Infirmière :

Au courant de rien, comme d'habitude! Avec un bipper qui ne marche plus - plus de batterie, certainement - et personne pour m'avertir. Je suivais juste les autres personnes, et comprenais ce qui se tramait alors rapidement. Un médecin était littéralement défiguré, et hurlait qu'on le lâche, des jurons. Il maudissait quelqu'un. Mais qui?

J'allais m'approcher pour voir un peu ce qui avait pu causer un tel carnage sur son visage, mais je fus interpeller par une voix familière. Hugo? Maintenant? Mais que faisait-il là? Mon premier réflexe fut de lui prendre de la main et de le guider vers sa chambre.

" - Qu'est-ce que tu fabriques dehors, toi, hein? Tu sais très bien que tu ne dois pas faire ça."

Cooper :

Je restais figé sur la gamine, dont je n'aimais pas le regard, un peu plus loin d'Hugo. Du regard, on commençaient à s'embrouiller. Puis, ça devenait des mots. Presque, je me demandais quand est-ce que l'un aurait le courage de frapper l'autre. Personnellement, frapper une fille ou un garçon, un adulte ou un enfant m'importait peu. Il en fallait beaucoup pour m'énerver, de toute façon. J'étais donc sûr que je ne donnerais pas le premier coup.

C'est lorsque j'ai entendu le nom d'Hugo, un peu plus loin, que je laissais à la jeune fille la chance de s'en aller. Visiblement, des gens cherchaient à la récupérer. Moi, je regardais juste Hugo, plus loin. Mais que faisait-il encore?!

Hugo:

"je ne veux pas rentrer dans ma chambre... je veux savoir ce qu'il ce passe (et sortir d'ici). "

Je vois alors LE médecin défiguré

"il... il s'est passé quoi...?!"

Infirmière :

" - Il ne se passe rien, retourne dans ta chambre."

J'essayais de le tirer, le contenir. Les patients ne sont pas amenés à voir de telles choses.

Cooper :

Je n'aimais pas le voir dans les couloirs alors que c'est déjà le bazar un peu partout, et puis sa santé est énormément fragile. Alors je me dépêche de les rejoindre, de pardonner l'infirmière et de prendre Hugo par les épaules pour le reconduire à sa chambre. Lorsque nous y étions, je fermais la porte, m'y adossais, fixant mon ami juste en face de moi, que je ne lâchais pas.

" - Qu'est-ce qui t'a pris de sortir."

Hugo:

"pourquoi vous êtes voukez rien me dire?!"

je vois alors Cooper venir vers moi. Je pensais qu'il était parti, il a horreur que je sorte de ma chambre quand il est là... je pensais qu'il allait m'aider, mais il fait le contraire. Il me prend par les epaules et LE conduit dans ma chalbre. Avec LE peu de forces qu'il me reste je me débat de son emprise. Je veux savoir!

Il me ramène dans ma chambre. Mes forces disparaissent peu à peu et j'arrête de me débattre. Je suis encore plus à bout de force.

"tu n'avais pas le droit! Je veux savoir ce qu'il se passe! Pourquoi LE docteur Owen est comme ça?! C'est horrible!"

Je sens des larmes couler de mes joues. Je ne sais pas si c'est à cause de la situation, de fatigue physique ou encore mentale. 

Cooper :

" - Je n'avais pas le droit de quoi, hm?! TU n'avais pas le droit de sortir de ta chambre, d'abord."

Je le poussais du bout du doigt, sur sa clavicule gauche. Je fronçais les sourcils, mécontent. Il avait le culot de m'engueuler, alors qu'il était le fautif. C'était pas vraiment ce à quoi je m'attendais. Je comptais bien repartir rapidement, tient. J'étais déjà suffisamment sur les nerfs par l'agitation dehors, il n'allait pas si mettre et rajouter son grain de sel.

Hugo:

Alors que mes larmes coulaient, il commanda à me crier dessus... de plus, il appuya suffisamment fort sur ma clavicule gauche, là où j'ai déjà eu une fracture. Je la sentis me faire atrocement mal mais n'en laissa rien paraître. Il a deja l'air en colere alors si je me fais mal il va l'être encore plus.

"ne me cris pas dessus... je veux savoir... je veux savoir pourquoi MON docteur est comme ça... j'ai LE droit non?!"

Tout en parlant je m'assis en boule au sol, en continuant de pleurer. J'en ai marre... tout le monde me cris dessus car je veux sortir d'ici. Je n'ai jamais voulu y entrer d'abord...

Cooper :

" - Je ne te cri pas dessus, Hugo. Je veux juste que tu comprenne que tu ne peux pas sortir de ta chambre à l'improviste au moindre cri. Et tu auras un nouveau docteur, ce n'est pas ça qui manque, et de toute façon, ça ne reste qu'un médecin."

Je posais mes mains sur les hanches, tandis que je le regardais faire le hérisson, sur le sol. Je soupirais, frustré. Le voilà qui pleure. Je tournais la tête ailleurs. Je n'étais pas habitué à réconforter les gens. J'étais même stupidement mauvais, et bien la dernière personne à qui il faut se confier. Quelque peu mal, j'ai décidé de repartir pour de bon cette fois. Alors je me retournais, ouvrait la porte.

( Dans la tête de Jack : Et PAF! Hugo s'agrippe. Et PAF! c'est le bordel. :')

(Quoiiiiii? *repete 7fois rapidement*)

Hugo:

Je LE sens m'attraper les hanches et releve la tete vers lui. Sauf que je pleure. Et qu'il n'aime pas quand je pleure. Je le vois se relever et aller vers la porte d'yn pas décider. Cette fois il part pour de bon. Je rassemble mes dernières petites forces pour me lever et aller m'agripper à son dos. Meme si il ne le sait pas, j'ai deja vu son tatouage. Je sais qu'il le cache donc je ne lui ait jamais dit. Je ne sais pas ce qu'il veut dire par contre

(Nan, rien. :')

Cooper :

C'est fini, je vais rentrer chez moi, tout va bien se passer... Je croyais. Lorsque je l'ai senti s'agripper à mon dos, mon premier réflexe fut de me retourner et de le gifler. J'avais oublié toute notions, que c'était lui, qu'on ne giflait pas les gens. Seulement, c'était trop grave pour juste m'enfuir. Lorsque je revenais sur terre, je remarquais la gravissime erreur que je venais de commettre. Jamais de ma vie je ne mettais senti aussi mal. Je m'aidais de la porte pour tenir debout, tout en fixant Hugo qui se tenait la joue. C'était trop. Je bafouillais que j'étais désolé, que je ne voulais pas lui faire de mal, en aucun cas. J'en restais aussi béat que lui.

Hugo: 

il m'a giflé... je me retrouve brusquement sur le sol et MON dos heurté le pied du lit. J'entends alors un craquement net. Ma clavicule étais surement cassé, la c'est autre chose. Je suis assez choqué de son geste. Je me retiens de pleurer quand je vois qu'il regrette. Mais ce n'est pas une raison. LE bruit attire Elise, l'infirmière de gout a l'heure. C'est à ce moment que je sens un liquide couler sur MON corps. Surement du sang. J'essaie alors de cacher MON bras, l'endroit d'où le sang coule. Je ne veux pas que Cooper LE voit meme si il a surement entendu LE bruit...

Cooper :

Oh non, oh non non non.....

Je pâlissais, complétement effrayé à l'idée d'avoir aggravé la situation plus qu'il ne le fallait. lorsque j'entendais l'infirmière revenir, je m'enfuyais aussitôt. J'avais mal, dans mon estime, vraiment. Je lui avais fait mal, et je n'assumais rien. Oui, c'était un assez gros coup, et je m'en rendais compte. Si bien que je n'ai pas réussi à m'enfuir complétement de l'hôpital. J'attendais dehors, fixant le sol, bouche-bée. Je m'en voulais, je m'en voulais, je m'en voulais tellement...

Elise (infirmière) :

Là-bas aussi, c'est un bazar pas possible. Mais que font-ils? Je me hâtais d'aller voir Hugo. Son ami partait, lui, la tête baissée. Il avait réussi à me bousculer. Grossier personnage. Quand je tournais mon regard vers Hugo, j'étais assez stupéfaite dans l'état dans lequel je le retrouvais. Je m'empressais d'aller des médecins qui puissent le prendre en charge, tandis que j'essayais de lui stopper le sang qui coulait de sa plaie.

" - Mais comment tu as fait ça, Hugo?" lui demandais-je, à la va-vite

Hugo:

"je pense que j'ai... la clavicule cassée..."

Je ne veux pas lui dire que c'est Cooper... je l'aime trop pour ça... je pleure un peu plus quand il s'enfuit, je ne voulais pas ça... je voulais juste qu'il reste avec moi... je regarde Elise qui s'affaire autour de moi. Je n'arrive pas à me relever je ne peux plus rien faire

Elise :

Elle était vraiment salement amoché. Je le plaignais, ce pauvre petit. Alors, avec mon pouce doucement je lui séchais ses larmes, tentaient de le réconforter en attendant l'arrivé des autres. Tout arrivait trop vite, selon moi.

" - Saleté d'animaux." maugréais-je

Doucement, je passais un bras puis le deuxième derrière Hugo et le prenais dans mes bras pour le calmer encore.

" - Ca va aller, d'accord? On va te soigner ça en une deux, je te le promet."

Hugo: 

Elle parle d'animaux, pourquoi? J'essaie dit reflechit mais la douleur est trop forte et embrouille MON esprit. Je grimace quand Elise me toiche et la douleur me fait grimacer...

"aie..."

Elise :

" - Désolée!"

Je le lâchais immédiatement, mais doucement, pour qu'il puisse se mettre dans la position qui lui semblait être la plus confortable. Je restais en face de lui, longuement, jusqu'à ce que des médecins enfin! viennent et le prennent en charge. Ils le reposèrent sur son lit, certains appelaient des anesthésistes, d'autres des chirurgien. Une farandole autour de lui, dont Hugo devait bien avoir l'habitude.

Hugo: 

je ferme les yeux quand j'entends les médecins arriver. Je sais ce qu'il va se passer, c'est comme une routine: médecins, etat de santé, anesthésiste, puis bloc opératoire. Je veux juste dire à Cooper que ce n'est pas grave, que je ne lui en veux deja plus...

(On fait une ellipse? :O)

(J'en sais rien, faudrait voir comment on organise la suite. Comment Hugo pourrait faire chanter Cooper pour qu'ils passent plus de temps ensemble. Peut-être à après l'opération, Elise vient et Hugo demande, un truc du genre. :o 'fin, ce n'est qu'un idée, propose toi aussi. :3)

Oui si tu veux... ca me paraît pas super vis à vis de MON perso par contre...

Bah propose aussi, alors! :o Moi je fais tout comme ça t'arrange!

A euh... ben on va dire que Cooper vient tout les jours sans entrer et qe un jour il se fait cramer

Qui se fait cramer? Quand? :')

Ben genre un mois plus tard

Ouais mais qui?! Et comment?! x'D

À Cooper de fait cramer par Hugo car il LE voit devant sa porte, enfin si tu veux ^^

Okey!!! C'est bon, je comprend!! :3

Ca te va?

Absolument! :3

Okok donc au bout de un mois?